L'infiltration

Admin Nombre de messages : 466 Date d'inscription : 19/03/2007

Sauvegarde du 29/04/2007 00:49:51
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RocheGarde a écrit:: Rochegarde ne comprenait pas , il etait de nouveau parti a l’assaut de la ville en supériorité numérique , avec des soldats tous aguerris et armés jusqu’au dents et de nouveau une poignée de soldats accompagnés en grosse majorité de paysans ne tenant que fourches les avait repoussé .

Quelquechose n’allait pas , les bretons avaient beau se battre comme des diables , ils n’etaient normalement pas capable de repousser une armée de métier qui plus est en large supériorité .

Revenant sur Onyo , il regarda au loin le petit chemin par lequel allaient et venaient les bretons qui arrivaient sur Rieux ou qui en partaient .

Le chemin sinuait entre deux pentes abruptes empêchant toute cavalerie d’intervenir , de ce qu’il avait pu voir de loin , la petite guérite ne laissait passage qu’un un seul homme et archers et soldats la défendait .

On avait vite laissé tombé l’hypothèse de passer par la, par contre il était curieux de savoir comment les bretons s’organisaient a l’intérieur .

Une fouille sommaire des paysans entrant étaient faites et il ne s’intéressaient plus qu’ a ceux portant des armes , bien que le flux de population se tarissait , il y avait encore du passage .

Revenant au camp , il enleva tout et s’habilla de haillons ,laissant armes dans la tente , il prit quelques hommes avec lui , le but etant de ne pas prendre la ville mais surtout de s’y infiltrer .

Le detour fut long de facon a arriver sur le chemin loin des yeux indiscrets , il suivit la file des paysans venu aider a la defense de Rieux , son groupe comportait hommes et femmes tout habillaient de la facon la plus pauvre possible de facon a rester me plus discret .

Sur le champ de bataille , il avait toujours porté casque puis avait passé le plus clair de son temps dans les tentes d’Etat major .

Apres une fouille des gardes , ils le laisserent passer , proche de la porte a quelques metres on distribuait fourches pour la defense , il en prit une puis donnant son nom « Jacquou » , il se disposa comme les autres sur les remparts .

Un rapide coup d’œil lui permis de voir que la porte serait veritablement difficile a prendre , l’on y laissait que les soldats s’en approcher et ceux-ci étaient bien armées .

Il attendit donc que la journée se passe , essayant de deviner le moral de ces bretons , parlant peu , se montrant taciturne .. rien de bien etrange vu la tournure des evenements , peu de bretons avaient envie de rire .. la plupart ne connaissaient pas la guerre et preferait ne pas parler .

A votre demande les posts ont été suprimés sur l'autre topic^^
~*pennad*~

DuGuesclin a écrit:: Childéric, le capitaine du Poitou tournait en rond au campement de l’Ost, les batailles étaient pour le moment veines. Les défenses de Rieux étaient bien plus organisée maintenant que l’effet de surprise c’était estompé. Il décida alors avec quelques soldat d’aller en reconnaissance pour quantifier les défenses de la ville.
Il choisit alors les soldats les plus expérimentés pour essayer de s’infiltrer à Rieux. Il passèrent par les bois et se trouvèrent rapidement au bas des remparts de la ville. Moult bretons étaient aux meurtrières et scrutaient l’horizon.
Childéric comprit alors que pour entrer il fallait user de ruse observa longuement la porte d’entrée. Rieux se ravitaillait en denrée pour tenir le siège et moult charrettes entraient dans la ville. Il compris que la seule solution de passer la herse était en amenant victuailles.
Les poitevins retournèrent donc au campement et organiser un subterfuge. Ils prirent une charrette et chargèrent de la paille qu’ils avaient en réserve pour les chevaux. Quelques soldats prirent alors place dans la charrette et se camouflèrent dans la paille. Childéric prit les rênes et fit avancer la charrette, apres quelque heures de route, ils arrivèrent devant les gardes bretons. C’était maintenant l’heure de vérité, dans la paille, chaque soldat tenaient fermement les épées et se tenaient prêt à bondire au moindre appel du capitaine.
Childéric était tendu mais il s’efforçait de ne rien laisser paraître. Lorsque les gardes lui demandèrent ce qu’il venait faire, il ne dit pas grand chose et fit un geste de la main pour montrer la paille. Les gardes firent le tour de la charrette et sortirent épées pour s’assurer que tout le chargement contenait que de la paille. Ils mirent quelques coups dans la paille et rengainèrent. Ils revinrent alors vers Childéric et lui firent signe de passer.
Childéric joua alors des rênes et entra a Rieux. Une foi la grande porte passée, on lui fit signe d’aller vers les écuries pour déposer le chargement. Il s’exécuta donc et gara la charrette pres de celle-ci dans une ruelle peu fréquentée. Il mit pied à terre et donna le signal pour que les soldats sortent de leur cachette. Ils décidèrent de se séparer pour ne pas attirer l’attention.

Childéric traînait en ville à l’écoute de toutes les rumeurs qui circulaient. Et essayait de glaner quelques informations sur la défense de la ville. Malheureusement, le breton n’était pas bavard et il évitait de trop parler pour ne pas trahir son accent qui il faut le dire n’était pas trop couleur locale.
Il avançait donc dans les rue de la ville et faisant attention d’éviter les trop gros rassemblements de foule pour ne pas se faire repérer. Il se dit alors que le meilleur moyen d’appréhender la valeur de la défense de Rieux était d’y participer lui-même…

Rhân de Saint-Aignan de H a écrit:: [Campement d l'ost d'Orléans, tente du Lieutenant-General]

Rhân qui rentrai de Vannes ayant appris que Rieux résistait encore aux attaques des troupes royales, appella quelques soldats:
Ahd, kalimalice, nano, Ieddoreg, Biffure et Dmitri! Venez par ici!
je vais vous confier une mission de grande importance.Vous allez essayer d'infiltrer la ville de Rieux pour savoir comment s'organise cette defense qui nous résiste
Pour ne pas eveiller les soupcons vous entrerez sans armes, comme ca on ne pourra vous accuser de vouloir vous révolter contre les bretons. Vous essayerez de travailler chez l'habitant pour surprendre les rumeurs.

Rhân conduisit ces valeureux volontaires jusqu'a une tente ou ceux-ci laissèrent, armes, insignes et vétements militaires, pour prendre de simples vetements de paysans.

Vous vous appelerez maintenant, Herwan, Marie,Yves, Guénolé, Malo et Jocelin
C'est sous ce nom que vous vous presenterez donc ne l'oubliez surtout pas!
Maintenant vous allez contourner par la foret le village et arriver par la route de Vannes dans Rieux, quand personne ne passera vous irez sur la route un par un et vous entrerez dans Rieux.
Voila, des questions? Sinon bon courage!

captain_poulet a écrit:: Cap' expliquait ce jour aux nouvelles recrues le fonctionnement du camp. Il était plutot de bonne humeur, les enrolés du jours étaient plus silencieux et appliqués que ceux des journées précedentes.
Il mit cette application sur le compte de l'interet porté par les paysans pour la défense de leur village et ne se mefia pas du tout de savoir si ils pouveiant être des soldats infiltrés.
Chers soldats, Vous avez rejoint pour ce jour la fiere armée bretonne. Depuis pres d'une semaine nous resistons aux forces ennemies françoises qui sont installées pres des routes de l'Ouest et du sud.
Chaque nuit ils tentent de prendre d'assaut le village mais se cassent les dents sur les pieges que nous leurs tendons.
La tenacité et la justesse de notre combat, les hautes capacités de l'etat major bretons, notre équipement et l'organisation de l'armée bretonne nous donne l'avantage sur une armée désorganisée de mercenaires loind de chez eux pilotés par un roitelet qui ne sait meme pas ce qu'il cherche à gagner dans ce conflit. Malgré le surnombre évident et de plus en plus flagrant, notre position rteste invaincue et certainement imprenable.

De part votre engagemetn vous aller participer à ce dispositif!

Cap' pris un baton et commença a tracer des traits au sol de ce qui devait représenter la ville et ses alentours.

Ici nous avons le village. Là la mairie, cible des attaques. Là le premeir rempart former par les maisons du centre ville renforcé par des palissades. Plus loin les défenses mises en place par l'armée.
Dans ce quartier nous trouvons les camps des différents régiments des soldats où nous sommes actuellemnt. Vous avez pu remarquer les etendards des regiments des villes de bretagnes qui représente l'armée réguliere bretonne.
Les soldats en uniforme qui circulent en ville vous prouve la presence non negligeable de ces militaires. Là le second reseau defensif qui nous sert a filtrer les entrées et sorties et de l'autre coté, le campde l'Ost Royal qui regroupe des chevaliers de différents duchés lointains et dont la plupart n'ont aucun contentieux direct avec a bretagne.

Votre part en tant que civil est de vous placer sous les ordres des maréchaux qui vous repartiront dans des escouades qui arpenteront les rues la nuit et alerteront les militaires dont le travail est de repousser les assaillant. Surtout ne prenez pas de risques inconsiderés, ils sont très bien armés et savent ce qu'il faut faire comme ils le prouve chaque nuit.
Si vous avez un peu d'argent , l'armée peut vous fournir des armes et des protection. Adressez vous a l'état major, à l'intendant ou a la banque bretonne.

Maintenant que vous voyez un peu la tache qui vous incombe, je vais vous repartir avec vos chefs d'escouades et un secteur de la ville vous sera attribué.

Vous avez des questions?

Cap' se tournéa vers les recrues et attendit les remarques éventuelles. Il avait remarqué que deux de ces soldats Riwal et Lylas avaient quittés le camp et était préssé de rejoindre son campement pour s'enquérir de leurs nouvelles.

Ieddoreg a écrit:: [Campement d l'ost d'Orléans, tente du Lieutenant-General]

Guénolé ? C'est un prénom ça ? ... Ah ...

Trève de plaisanterie, ce qui m'inquiète surtout, c'est qu'ils pourraient nous parler en breton. Auquel cas, je serais bien incapable de répondre ... À quoi bon avoir un prénom breton si, passez-moi l'expression, on ne pète pas un mot de la langue ?

Admin Nombre de messages : 466 Date d'inscription : 19/03/2007

biffure a écrit:: Biffure entrat dans la tante du lieutenant générale, et l'écoutat avec grande attention.
Suite au ordres, il déposat ses armes et son uniforme, pour se déguisé en paysan breton. Son nouveau nom était donc malo.
Non pas de question mon lieutenant général
Il sorti de la tante en compagnie de Ahd, kalimalice, nano, Ieddoreg et Dmitri, et se dirigérent ver la forêt afin de la contourné pour arrivé a rieux par la route de vannes.

Duncann a écrit:: Duncann passait devant la troupe, portant un soldat blessé à la jambe. Il s'arrêta et écouta attentivement... A la remarque de Iedorreg, il dit:

Guénolé, dans mon village, c'était un type qui s'est fait buté... Si ça peut vous rassurer Sergent, oui ça existe comme prénom.

Il fit un énorme sourire en allant porter le blessé à l'infirmerie.

conan le guerrier a écrit:: Soldat de l'OST Poitevins

Cyclope qui avait recut ses ordres,par son capitaine,c'etait preparer a infiltrer les remparts protéger par une multitude de gardes;
Habiller en haillons,il s'approcha de la porte de garde,poussant une vieille brouette avec 2 sacs de mais;
Les gardes le devisagerent longuement,mais ne laissant pas parraitre sa crainte,Cyclope passa sans etre gener par les gardes,la porte d'entrée;
Deposant sa brouette,derriere une ruelle sombre,il s'empressa de monter sur les remparts,ou des gardes bien armés distribuait des fourches a ce qui semblait etre des paysans;Passant devant l'un d'eux,Cyclope prit une fourche que lui tendait sechement un garde;Une foit sur les remparts,il put apercevoir la place de Rieux,ou fourmillé une multitude de gardes et de soldats Bretons;
Continuant a avancer sur les remparts,il fut surprit de croiser certains amis de l'OST,qui avaient reussit a s'infiltrer aussi;
Il les croisa sans mot dire,afin de ne pas trahir leurs presence,par un defaut de langue Bretonne;
Il attendait maintenant,que l'action commence,a la tombée de la nuit;

Seigneurbarth a écrit:: [Campement d l'ost d'Orléans, tente du Lieutenant-General]

Seigneurbarth s'approcha de la tente du Lieutenant Rhân et entendit les mots de Ieddoreg et lui répondit:

C'est pas compliqué le breton!
Demat signifie bonjour
kenavo c'est au revoir
spont c'est ce que ressente les bretons, la peur
Il fait beau aujourd’hui se dit Brav eo an amzer hiziv. Il y a quand meme peu de chance que ce soit le cas
auberge c'est ostaleri là où les bretons se cachent
Enfin la bierre en breton se dit "bier" comme quoi on a des points communs avec nos enemis

En dernier recours il y a une phrase que tu pourras sortir mais à tes risques et périls!

Ne gomzan ket brezhoneg et surtout ne dis jamais "bern kaoc'h"

Je te souhaite donc bien du plaisir pour cette petite balade de santé!

nanozevich a écrit:: Nanozevich suivit ses comparses jusqu'à la tente de l'état-major et entra. Il présenta ses respects au lieutenant Rhân. Le lieutenant lui donnait enfin une mission. Il l'écouta attentivement, au début tout du moins. Car au milieu de la table d'état-major, se trouvait avec cartes, compas et plumes, une bouteille. Une bouteille? Une bouteille! Que pouvait-elle bien contenir? Du vin? de la bière? du calva? de la poire? de la prune? de l'hypocras? de l'hydromel? du Chouchen? Oui ce devait être ca, le chouchen, cette boisson dont tout les bretons parlaient et qu'il n'avait pas encore goûté. Il lui en fallait! Il lui en fallait, nom d'une pipe et par n'importe quel moyen!

Voila, des questions? Sinon bon courage!

Mince, je n'ai rien écouté!

Nanozevich suivit le groupe jusqu'à une petite tente. Il y pénétra et fit comme les autres, posant ses armes, prit des frusques et commença à se déshabiller. Il bougonnait en sentant les vêtements qu'on lui avait donné. Puis se souvint de qui se trouvait dans la pièce. La sûblime infermière chef : Kalimalice! Il se retourna et ne perdit pas un geste des gracieux mouvements de la charmante enfant qui se battait pour défaire ses jupons. Voilà une mission qui démarre comme il faut! Appréciant chacune des formes de Kali, Nano se perdit dans ses pensées...
Après s'être bien rincé l'oeil, Nanozevich interpela chacun de ses coéquipiers afin de s'avoir vraiment, de quoi la mission retournait. Nano s'était bien débrouillé et savait maintenant que c'était une mission d'infiltration afin de reconnaître l'organisation des défense de la ville en travaillant chez l'habitant pour surprendre les rumeurs. Ok! Ca ne devrait pas être trop compliqué...
Ah oui! Mon nom d'emprunt! Comment ont-ils dit, déjà? Yvres. Yvres? Yvres! Yvres... Si c'est un nom breton, j'en connais beaucoup. Dans ce cas, il y a pleins de bretons dans les tavernes patichonnes!
Biffure reprit Nano :

Ce n'est pas Yvres... C'est Yves!

Encore ce n'est pas crédible... Ca faisait trop breton saoul! Ok, ce se sera Yves! Yves Remort! Cômme ça je serais super crédible et je passerais incognito!

Avant de partir, Nanozevich se dirigea vers sa tente et prit une bouteille de gniole pour la route!
Le petit groupe sortit du campement, contourna le bois et se dirigea vers Rieux par la route de Vannes.
Après nombre de bavardage, palabre et négociation. Les autres membres du groupe étaient tous d'accord pour que Nano passe le premier. C'est beau le camaraderie!
Nano but une bonne rasade de sa bouteille pour se donner du courage et s'engagea sur le chemin.
Après un vingtaine de mètre, il s'arrêta, s'assit sur une borne et regarda les alentours... La campagnes, des champs, des bosquets. Rien de transcendant. C'était bucolique! Nano observa les remparts.

Du Granit. Pas très facile à escalader...

Il observa attentivement la porte qui était surmontée d'une petite tour trapue occupée par quelques soldats distraits qui scrutaient à peine l'horizon.
Il se retourna en direction de Vannes et vit cinq têtes et paires d' yeux qui dépassaient d'un gros tronc. Il fit signe à ses compagnons d'aller se cacher avec agacement. Il ne fallait pas rester ici ou il allait se faire prendre.
Il rebut quelques bonnes gorgées de gnole et reprit son chemin serrant ses miches!

Nanozevich arriva devant la porte qui était gardée par un groupe d'arme de quatre soldats. Il leva les yeux et vit en haut de la tour quelques archés en train de rire en le regardant arriver!
Nano décida de faire son air idiot numéro quatre...
Un garde lui demanda :

Qui es-tu manant? et que fais-tu là?

Je suis Yves! Yves Remort! et je...

Je vois bien que tu es saoul! Mais qui es-tu?

Je suis Yves...Yves Remort?

Ha! Ha! Ha!

Un des gardes éclata de rire.
Un autre s'approcha l'air patibulaire et s'entreprit de fouiller Nano. Il trouva sa bouteille, regarda Nano droit dans les yeux plein de défi, ouvrit le bouchon de la bouteille et en but une bonne rasade. Il explosa, toussant et crachant. De toute évidence, le brevage était trop fort pour lui. Ses camarades bretons se mirent à se moquer de lui. Il redonna sa bouteille à Nano et lui botta les fesses.

Hors de ma vue, pochard!

Nano entra dans Rieux...

Ieddoreg a écrit:: [Campement d l'ost d'Orléans, tente du Lieutenant-General]

Ne gomzan ket brezhoneg ?
Bern kaoc'h ?

Et cela signifie quoi exactement ?

Seigneurbarth a écrit:: [Campement d l'ost d'Orléans, tente du Lieutenant-General]

Ne gomzan ket brezhoneg veut dire "je ne parle pas breton" oui je sais c'est pas trop util!

Bern kaoc'h ça c'est plus dangeureux, ça veut dire "tas de petits fripons"
en quelque sorte !

Rhân de Saint-Aignan de H a écrit:: [Petit cours d'histoire hrp]
Il faut savoir que la bretagne n'a jamais parlé en intégralité breton. même au siècle d'or de la langue bretonne, celle ci était limité à l'ouest du pays et aux milieux plus pauvres. A l'est on parlait le gallo ou le francais. De même les ducs de Bretagne ainsi qu'une bonne partie de la noblesse parlait exclusivement francais.
On peut considérer qu'a l'est de Vannes, ne pas parler breton est assez normal.

lilynight a écrit:: [HRP : rp vient à la suite de l'enlèvement de lilynight et Neferoure par l'ost bretonne /HRP]

les négociations sur les bosquets avaient échouées, ils avaient pris Lily et Neferoure en capture. Dans le campement de l'ost bretonne, les bretons avaient recus l'ordre de défendre les remparts du village et leurs manquaient d'hommes. Ainsi, ils se tournérent vers leurs prisonniers dont Lily afin de se servir d'eux et forcèrent à s'enrôler dans la maréchaussé. Quelle humiliation pour Neferoure et Lily que de se battre aux côtés de l'ennemi et enceinte en plus.

Mais à sa grande stupeur, elle appercut des soldats de l'ost limousine et alliée vêtus de haillons afin de passer innapercut dans la maréchaussée. Pour espionner pense-t-elle. Elle se rassura et espérait qu'on la libère elle et Neferoure par la suite. Elle pensa à Kazert , il devait être dans un drôle état mais pour lui et son fils, elle se devait de surmonter tout cela.

Goum a écrit:: Goum s'était introduit dans Rieux, en plein jour et à la barbe des soldats bretons. Incroyable comme ils étaient peu méfiant. Habillés de haillons, la démarche hésitante et un baton à la main, il s'était présenté comme un paysan des environs désirant défendre la ville contre les françois.

On le mit dans un groupe de maréchaux, à sa grand stupeur, il reconnut Lily non loin, qui avait été porté disparu la veille.

Voilà au moins une bonne nouvelle, les bretons ne lui ont pas fait de mal

Goum se prêta de bonne grâce aux exercices, cachant sa force et son expérience du mieux qu'il le pouvait.

Alext67 a écrit:: Alext67 arriva devant la tente du lieutenant général et vit que le groupe était déjà parti.

Mince je suis arrivé trop tard pour les aider. J'irais avec eux la prochaine fois.

Ayant une idée il alla voir Rhân dans sa tente. Celui-ci était en train d'observer une carte.

Bonjour mon lieutenant général, tout mes respects. J'avais une question. Pourrais-je partir seul en mission d'infiltration.

Puis il attendit la réponse de Rhân.Mais quand Rhân leva les oeuils vers lui il sourit car Alext67 était habillé en manant avec des habits très très moches pourraiton dire.

Jizz a écrit:: [Campement Limousin]

Mission infiltration ! Ouaaah !!! Quand elle allait raconter ça aux copaings restés à Ventadour !

Habillée avec des vêtements bretons empruntés en toute discrétion à son oncle, elle écoute parmi les autres soldats les consignes de prudence données.

Bref temps libre qu’elle met à profit pour réviser les quelques mots de vocabulaire appris sur le tas.

A côté d’elle, Rasp fait répéter Has, son père

Has : Kenavo, mon frère
Rasp : tu pars déjà ?

…. Court moment de silence…

Has : Ce n’était pas bonjour ?

Essayant de ne pas éclater de rire, elle se remet à la recherche des quelques phrases clés pratiques en toutes circonstances.

Aloooors…. Crêpes… crêpes… ah oui, ur grampouezhenn… et ensuite, une taverne… un davarn

Refermant le lexique d’un coup sec, elle serre davantage la cordelette qui maintient ses braies bretonnes trop grandes en place avant de se diriger d’un pas décidé vers la file des marchands pénétrant dans la ville.

En abordant un, elle lui fait un sourire angélique, papillonnant légèrement des paupières

Demat ! Messire, j’ai besoin de votre aide… Pourriez vous me rendre un service ? J’aimerais faire une surprise à une amie vivant à Rieux… c’est son anniversaire. Voyez vous, j’aimerais arriver devant chez elle sans qu’elle ne sache que je suis là…

Sentant son explication être des plus fumeuses, elle ajoute un sourire angélique charmeur

Voyez vous, je pourrais m’asseoir à l’arrière de votre charrette…

Quelques papillonnements de paupières plus tard, ainsi qu’une bonne bouteille de prune coincée sur la banquette du marchand, elle s’assied enfin à l’arrière de la charrette pour entrer dans la ville.

Assya a écrit:: Assya, vêtue d'un habit d'épaisse laine, marchait sur le bord du chemin... Entrer dans les groupes de Maréchaux qu'il disait...

Elle entendie du bruit et se cacha derrière un bosquet... Elle vit une charette et... Elle ecarquilla les yeux, sortant son nez du bosquet...

Bordel... Jizz... Ben elle se fait pas chier celle-là

Elle marchait râlant, remontant le col de sa pelisse jusque son nez.

Surprenant comme il fut facile d'avoir un emploi de sécurisation des remparts... Elle n'en croyait pas ses yeux...

Admin Nombre de messages : 466 Date d'inscription : 19/03/2007

hasdrupal a écrit:: n aurait tort de croire qu'on n'oublie jamais sa langue maternelle. Le Vieux en était le parfait exemple.

- Des mattes c'est bonjour.... Quel Nabot c'est bonsoir... pfff

Le Vieux marmonnait ses quelques tirades révisées a la va vite... Et se dirigea vers l'enclos des machines de guerre. Les servants le regardèrent avec une expression indéfinissable. Lorsqu'il s'entoura d'un épais matelas de paille, ils commencèrent à réaliser qu'il allait vraiment le faire... et s'activèrent.

- De nattes c'est Bonne Nuit, Quelnavet c'est bonne bourre !!!! Z'êtes sur de bien avoir pointé?
- Ne vous inquiétez pas messire, on a fait mouche tout a l'heure... en plein dans la meule."

Sacrés ingénieurs, fallait quand même la foi du charbonnier.... mais bon... inutile de tenter de passer la porte de Rieux... y avait quasiment plus de bretons... A croire que ceux ci tendaient un piège aux compaings... Au moins lui, ils ne pourront pas l'arreter....

Il s'assit sur le godet, entoura ses genoux de ses bras....

- Allez les gars, hardi, c'est une mission d'infiltratioOOOOOOOOOOOOOOOOO

kalimalice a écrit:

Code:: La sûblime infermière chef : Kalimalice! Il se retourna et ne perdit pas un geste des gracieux mouvements de la charmante enfant qui se battait pour défaire ses jupons. Voilà une mission qui démarre comme il faut! Appréciant chacune des formes de Kali, Nano se perdit dans ses pensées...
Après s'être bien rincé l'oeil,

Kali savait que Nano l'a zieutait, mais n’avait elle pas l’habitude d’être au milieu de tout ses hommes .Aussi ne faisait elle plus attention

Nano regarde comment tu enfile tes brailles plutôt que ma croupe

Kali peut habituer ses derniers temps à tous ses jupons, commençait à s’énerver. Boudiou marmonnât elle
Une fois finies ressemblant à une femme bretonne et non plus à un soldat .Elle se mit à suivre les autres attendait moi ainsi affublée je ne peux courir. Bon les prénoms Herwan, , Yves, Guénolé, Malo , Jocelin et moi Marie ,bon je vous suis les gars ,prête pour infiltrer la ville

hasdrupal a écrit:: oooooOOON"

FROUTCH !!!

La meule de foin d'hiver explose en une belle gerbe sous l'oeil médusé d'une vache venue ruminer quelque pensée bovine. Le fermier, qui en a vu d'autres, s'appuie sur le manche de sa fourche, attendant de voir qui le Ciel a pu leur envoyer.
La meule s'agite maintenant mais seul quelques grognements de rage en émergent.
Enfin la tête constellée de fétus surgit: figure plus démoniaque que céleste.

- Ah euh!!! Demat.

S'extirpant difficilement de la meule, de son habit de paille, le Vieux Grigou retrouve quelque dignité. Puis, comme le fermier, qui n'est plus a ça près, ne réagit toujours pas, il s'approche de ce dernier, lui prend la fourche des mains, retourne les pointes vers les lignes françoyses et lui remet l'outil dans les mais, y joignant une mimique martiale. Enfin il s'eloigne sur un
- Kenavo guilleret.

annlor a écrit:

Ordres, ordres , ORDRESSSSSSSSS!!!!

La Baronne de Rien secoua la tête à droite , puis à gauche et regarda ses chausses trouées ...Quand il fallait y aller...Il fallait y aller lui avait appris sa vieille mère il y a fort longtemps ...Alors juppons furent enlevés , puis avec avec ses dents , la jeune et frémillante jeune femme commenca à tirer avec ses dents à la limite du déchaussement sur ceux-ci afin de les déchirer ...

Ensuite , satisfaite de ressembler à une souillonne , elle s'en alla rejoindre le village de Rieux où il lui fallait entrer ....D'une démarche fatiguée , elle avanca petit à petit jusqu'à ce qu'elle arrive devant un point de rassemblement....

Force toi à ne point trembler De diou! Allez la Blonde, tu as toujours tenu tête au vieu fou de Curé de ton village , la tache sera plus aisée ici ! ...Pensées multiples en tête ....

Fourche lui fut remise avec un morceau de pain ..Toujours ca de pris aux Bretons tiens!...D'un coup, un cri s'éleva au dessus de la foule ...Un Gros Monsieur à l'allure imposante - ...Waouh , le Hasounet était battu là , niveau ..Gros bidou !...cria ..

Citation :: Bretons, Bretonnes,

L'heure de l'engagement individuel a sonné. Le temps des préparatifs est passé et à présent, c'est à chacun de vous d'oeuvrer pour que l'armée française comprenne la valeur de ceux qu'ils osent attaquer.

Nos frères Vannetais sont déjà tombé sous le joug des barbares qui ont déjà placé des impôts comme forme de pillage. Ils payeront pour ce forfait. Mais il ne faut pas que notre belle ville de Rieux connaisse le même sort funeste au petit jour.

Il est essentiel que chaque Rillette s'engage dès à présent dans la défense de la ville pour résister aux assauts de l'ennemi. Cela passe dans l'engagement dans la maréchaussée !

C'est ainsi, l'espoir au coeur et l'arme à la main que nous pourrons ensemble bouter le Français hors de Bretagne! La Bretagne ne tombera pas car les Bretons sont fiers et forts, car les Bretons grossiront les rangs de l'armée de leur duché!

N'ayez crainte en l'avenir et bataillez pour celui-ci!!

Plutôt la mort que la Souillure,

Groumph !! L'allait falloir jouer serrer là...Pensa Annlor , puis scrutant les allentours , elle vit une jeune femme descendre d'une charette ..Elle reconnut un membre féminin de la famille Saincte Merveille..Elle décida d'aller à sa rencontre ...

Alext67 a écrit:: Alext67 prit seul une inniciative. Il sortit de a tente du lieutenant général et vit une petite charette avec du foin tirée par un petit âne. Il s'approcha de la charette, habillé en petit paysan et monta dessu et partit près des murailles. Arrivés à la porte nord il vit un garde s'approchait de lui et celui-ci lui demanda:
ET manant que fais tu là ?

Euh moé ? Jvin juste apporrrter ste tas foin pour le duc.

Attends ici je vais voir ce que je peux faire.

Le garde partit vers deux de ses compagnons et leur parla, puis les trois revinrent et plantèrent leur lance dans le tas de foin pour voir si il y avait des choses de cachées. Puis ils le laissèrent passer par la porte et Alext67 entra dans la ville. Il vit plein de soldats qui faisaient leur ronde.Et il repéra Nanozevich et Kalimalice mais ne fit rien de peur d'être repéré. Il s'avança jusqu'à la place principale et vit le marché où se trouvaient beaucoup de personnes. Les soldats avaient l'air nerveux et bouscullaient beaucoup de gens. A un moment il entendit un soldat crier:

Et toi reste ici!!!

Moé ?

Nan toi dégage !

Et le soldat poursuivit un autre homme qui avait très certainement volé quelque chose. Pendant ce temps Alext67 rejoignit la porte et sortit de la ville et alla le pus vite possible donner les informations des positions ennemies à son lieutenant.

Jizz a écrit:: Entendant un bruit voler au dessus d’elle

Tiens… les ingénieurs es catapultes essayent de nouveaux projectiles… pour assourdir les bretons sans aucun doute…

Le marchand tente d’engager la conversation, lui posant quelques question dans son patois auquel elle ne comprend rien

Sourire un peu contrit, elle tente de lui expliquer que ça fait tellement longtemps qu’elle a quitté la Bretagne, oui oui, une enfance très malheureuse mon bon monsieur… Baragouinant deux-trois phrases , elle fini par prendre une mine triste, décourageant ainsi les autres questions.

Arrivée dans l’enceinte de la ville, elle saute de la charrette en lançant un « kenavo » puis s’en va rejoindre le groupe de personnes prêtes à s’engager pour la défense de la ville. Regards

Elle voit une femme qui a du mal retenir des « bou diou » en série, tenir une fourche en main comme s’il s’agissait d’un poireau en décomposition. Tiens ? Mais ce ne serait pas une des baronette ? Elle s’en approchait, quand elles se firent interpeller par un barbu qui portait une insigne « chef maréchaussée »

Celui-ci les toisa, crachant au sol

Alors les donzelles, on se colle dans mon groupe ? N'oubliez pas que nous sommes des mecs et que nous aimons la chair fraîche !

Rire gras qui se solde par une mauvaise toux. Elle lui aurait volontiers planté ses tenailles en bouche pour lui faire un soin dentaire, mais diplomatie oblige… S’approchant de lui, l’œil sombre, elle lui murmure à l'oreille

Toi le poilu, tu poses tes sales pattes sur moi, tu te retrouves sans un poil d’ici quelques minutes…Et puis, à propos de "frais"... tu devrais faire quelque chose pour l'haleine... c'est intenable !

antlafouine a écrit:: Ant ! Misson infiltration !

Voilà les mots qu'il avait entendu et déjà un grand soupire, réussire à cohabiter avec les Bretons, faisable d'accord peut être même qu'il réussirait à avoir un peu de mousse !

- Bon vocabulaire Breton ... Se dit Ant en se grattant la tête.

- Demat, bonjour ... bon ça, ça ira pis sinon ... arf je suis mal moi !

Il enleva son chapeau et le cacha dans sa petite besaçe, en effet il était inscrit sur son chapeau "fier d'être Limousin" autant dire que ça ne plairait pas au Breton ...

- Bon alors la maréchausée.. arf direction la mairie.

Il marcha dans le village en sifflotant, il rencontra un homme qui marchait en sens inverse, l'homme lui dit.

- Demat ! Quelle belle journée n'est-ce pas ?

Ant sentit sa gorge se serrer, en essayant de changer un peu sa voix il begaya.

- Dedemmat .. oui en effet très belle journée !

Sans se retourner il continua en direction de la mairie, il alla devant les offres de la mairie et vu les offres de la maréchausée, il inscrivit son nom et repartit.

- Rah .. voilà une bonne chose de fait ...

Il s'asseya sur un tonneau en attendant que quelqu'un vienne relever les offres. Une demi heure plus tard un homme arriva il nota quelque noms. Après avoir vu l'homme tourner un peu plus loin, il alla regarder la liste, ouf il était pris !
Il se dirigea vers son groupe de maréchaux en se mordant les lèvres.

- Ah Demat ! Vous êtes nouveau ici ? Dit un homme déjà présent.

- Hum oui je viens de Fougères pour ce job.

- Vous verrez ça vous plaira de tapper du François.

Ant du se retenire de crier, mais pris son air le plus normal.

- Oui ... On va les bouter hors de notre .. PPpays .. héhé ...

Une loooongue journée s'annonçait ....

Baldurs a écrit:: Baldurs se dirigeant vers les murailles croisa une nouvelle tête, ce n'était pas surprenant tous le monde voulait bouter les françois hors de Bretagne

Demat, quelle belle journée n'est-ce pas?

L'autre lui répondit:
Dedemmat .. oui en effet très belle journée !

Baldurs sourit se disant que ce nouveaux avait du avoir peur de sa tenue de militaire, certes ce n'était qu'un paysan, mais un paysan voulant défendre sa terre. Toutefois il avait beau se creuser la tête il n'arrivait pas à reconnaître son accent. Sur ce il continua sa route vers les murailles.

Assya a écrit:: Assya enrageait... Elle avait dû travailler aux cotés de Bretons qui avaient passé la journée à dénigrer les "François"...

Elle qui n'avait jamais été françois comme ils disaient... Elle en avait par dessus la tête...

Elle était passé par les petits chemins.

Elle passa la muraille et pris la direction de son Campement.

Faooeit a écrit:: Participant à l'infiltration de Rieux, e comte Faooeit restait caché dans la charette conduite par le Capitaine DuGuesclin, la gorge assez serrée à l'idée d'entrer dans la ville bretonne... Il avait entendu de terribles rumeurs au sujet de ces habitants, comme le cannibalisme ou autres coutumes archaïques. Le voyage était inconfortable mais tout cela était pour la bonne cause. Une fois la charette déposée et entendant son supérieur lui dire qu'il pouvait sortir, le comte d'une manière assez malhabile cherchait alors de quoi faire dans ce village où il ne comprenait nullement la langue des habitants. Il voyait tout de même certains de ses camarades limousins ayant participé avec lui à plusieurs assauts contre la ville, mais là c'était une toute autre histoire. Un homme armé venait alors à lui, lui parler dans un langage qu'il ne comprenait pas et luitendre une fourche... Quelle insulte tout de même de traîter ainsi Sa Grandeur Faooeit! Mais bon, il fallait jouer le rôle du manant... Pendant toute la journée il tentait tant bien que mal de trouver des informations de la manière la plus discrète possible, et le soir venu il fallait monter aux remparts repousser les gens de l'ost, tâche à laquelle il s'employa, mais sans grande conviction et les laissant faire plutôt qu'autre chose, ne faisant aucun prisonnier... Le lendemain il retournait donc au camp poitevin.

Zodelius a écrit:: Et pendant ce temps, Messire Zodelius Seigneur de la Villedieu d'Ancou coeuillait et croquait la pomme en compagnant sa promise Dame Abaelle Baronne de Rochefort

Elle est pas belle la vie?

15 jours sans post. Je verrouille.

~*pennad*~